Vu dans la presse

Publié le

Vous trouverez ici les échos de cette opération : reportage TV et radio (1), articles de presse (2)

1/ Reportages TV - Radio

France 3 - Aquitaine
http://aquitaine.france3.fr/info/51360870-fr.php
www.mirpod.com/podcast-player.php?6956/France-3-Pau-Sud-Aquitaine-Journal&lang=fr

France 3 - Région Basse-Normandie
Reportage à partir de l'action de l'école Millepertuis (14)
http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=caen_midipile&video_number=0

France 3 - Région Midi - Pyrénées 12/13 et 19/20
http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=b31a_1214part1&video_number=0

France 3 - Région Poitou-Charentes

Long reportage : information sur l'action dans les écoles Saint Exupéry d'Angoulême et Tony Lainé de Poitiers - entretien avec l'IA - reportage sur la spécificité de la maternelle 
http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=c86a_1214part1&video_number=0
Rechercher les journaux du vendredi 6 février

France3.fr
Reportage radio sur l'action, ses raisons, son ampleur.

www.enfant.com
http://www.enfant.com/index/3786.html?vkey=f8d764dbac8c042c4e7e2d4536159c9a
Reportage sur "attachons-nous" dans l'école Legouvé de Paris.
Suite à cette enquête, un manifeste sera dépose au ministre de l'Education Nationale Xavier DARCOS. 
http://www.enfant.com/votre-enfant-3-5ans/ecole-maternelle/Le-manifeste-des-parents-d-Enfant.com-pour-l-ecole-maternelle.html

www.tvreze.fr
http://www.dailymotion.com/video/x8a99b_attachons-nous-a-notre-ecole_news

www.actualité.com
Vous trouverez l'article sur http://www.actualitte.com/actualite/7873-attachons-nous-ecole-primaire-reformes.htm

http://paris.10.evous.fr/Operation-nationale-Attachons-nous,992.html

http://www.7ltv.fr/?page_id=6 (Montpellier)

On nous signale
(merci de transmettre les liens ou scan des articles) :

- reportage sur TF1, M6...
- reportage sur France culture, RTL et des radios locales (Hit Ouest...)
- Interview radio RGB92 (région parisienne)
- France 3 Région (Loire - Océan...) et des chaînes locales (Canal 15 TV)...

2/ Articles dans la presse

Par ordre alphabétique, les journaux suivants ont parlé de notre attachante opération :

Centre Presse
La Dépêche du midi
La Nouvelle République
La Provence
La Voix du Nord
Le Courrier de l'Ouest
Le Midi Libre
Le Parisien
Le Progrès
Le Républicain
L'Express
Ouest France
Paris Normandie
Presse Océan
Sud-Ouest
20 minutes Marseille

Des parents signalent également des articles dans Les Echos,  le journal du Pays Yonnais, la République des Pyrénnées....


Extrait de CENTRE - PRESSE VIENNE
Ils (se) sont attachés à l'école

Éducation Les parents d'élèves d'une quarantaine d'écoles de la Vienne se sont mobilisés, en faisant des chaînes humaines, pour montrer leur attachement à la maternelle.

Ambiance bon enfant hier devant les portails des écoles de la Vienne. Chaîne humaine autour des établissements ou dehors. Des parents se tiennent par la main. D'autres s'attachent avec une corde ou du ruban de chantier. Certains ont fait des banderoles, prévu le café du matin ou le goûter de 4h.

Au total, 36 écoles du département étaient inscrites via le blog « attachons-nous à l'école ». « L'idée était de montrer que nous sommes attachés dans tous les sens du terme à l'école », explique Stéphane Bellini qui a lancé ce blog. Il n'est pas vraiment surpris par la forte participation des parents (FCPE) : « Malgré la crise, malgré les contraintes personnelles et professionnelles, des parents réagissent, se mobilisent, montrent qu'ils sont là, debout, face à des réformes incohérentes, infondées, hâtives, et injustes, enrobées d'une communication fallacieuse. »

Les élus aussi

L'initiative de ce papa d'élève à Tony-Lainé, dans le quartier des Trois-Cités à Poitiers, a touché les élus aussi. Alain Claeys, député-maire de Poitiers, et Laurence Vallois-Rouet, son adjointe à l'Éducation, Martine Gaboreau, conseiller général, étaient à l'écoute des inquiétudes des parents, comme des enseignants. « Il faut que les moyens consacrés à l'école soient maintenus. L'école est lien de solidarité où il faut investir pour l'avenir », affirme Alain Claeys.

Malaise profond

Bernadette Vergnaud, députée européenne (PS) était, avec Robert Rochaud (Verts), devant l'école Brassens à Poitiers. Ce n'est pas une question d'étiquette politique. Des élus de droite étaient aussi aux côtés des parents. À Loudun, le maire, Elefterios Benas, s'est mobilisé comme Françis Girault à Jaunay-Clan.

C'est un ensemble de choses qui a fait sortir les parents : les difficultés pour inscrire les enfants de 2 et 3 ans, la réduction des réseaux d'aides spécialisés pour les enfants en difficulté, les perspectives de suppression de classes d'une carte scolaire qui devait avoir lieu hier (finalement annulée). Mais un malaise plus profond est persceptible. « Ça fait des années que les femmes se battent pour travailler. S'il n'y a plus de classes de maternelle, c'est moins de mamans qui pourront aller au boulot, et encore plus de crise », explique Abrour, maman d'élève de la maternelle Alphonse Daudet, dans le quartier des Couronneries à Poitiers.

BRIDARD Valerie - Centre Presse

CENTRE PRESSE - Pages intérieures
Reportage sur les actions dans les villes suivantes :
Poitiers : 10 écoles mobilisées
Migné-Auxances
Vendeuvre
Jaunay-Clan
Chatellerault
Martray
Saint Maurice
Couhé
Champagné-Saint Hilaire

LE COURRIER DE L'OUEST
Courrierdel-Ouest.jpg









LE COURRIER DE L'OUEST
Article sur l'action de l'école à Coulans-sur-Gée
http://www.servimg.com/image_preview.php?i=275&u=11947246][img]http://i64.servimg.com/u/f64/11/94/72/46/numari10.jpg[/img][/url]

LA CHARENTE LIBRE
http://www.charentelibre.com/article-5-grand-angouleme-st-exupery-manifeste-son-attachement-a-la-maternelle.html?id_article=255911

LA DEPECHE - Saint Gaudens
http://www.ladepeche.fr/article/2009/02/07/536525-Saint-Gaudens-Attaches-a-leur-ecole.html
Attachés à leur école

Les écoles maternelles menacées ?
- france 3 aquitaine -
Des parents inquiets d'une éventuelle disparition des maternelles se sont mobilisés aujourd'hui dans toute la France.

Sous le mot d'ordre "maternelles en danger", de nombreux parents se sont regroupés dans des écoles pour des actions symboliques, sans gêner les cours, ni bloquer les entrées. Ils s'inquiètent des conséquences des réformes Darcos.

Une réforme qui prévoit notamment de ne plus accepter en maternelle les enfants de deux ans.
Pour les parents, c'est un recul du service public de l'éducation d'autant qu'ils craignent à court terme le démentèlement de l'école maternelle toute entière, à l'image de la Grande-Bretagne.
Il faudrait alors trouver un mode de garde, payant... les enfants des familles les plus défavorisés seraient les plus lésés.
Les associations de parents d'élèves comptent continuer leurs actions sans gêne ni blocage espérant être entendus du gouvernement.



Radio RMC

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À l'école du Pilat à Saint-Gaudens, mais aussi à Aurignac ou à Encausse et en bien d'autres endroits du Comminges, les parents d'élèves se sont mobilisés hier matin en participant à l'opération nationale « Attachons-nous à l'école. »

Avec de la ficelle, du scotch ou en formant une chaîne humaine, les manifestants ont voulu mener une action symbolique « un attachement à un système reconnu partout en Europe ».

Au Pilat, les parents ont offert café, thé et gâteaux. « L'objectif est de se rencontrer, de dialoguer. Une classe de maternelle fait l'objet d'une menace de fermeture à la rentrée prochaine. » Une pétition a été lancée signée par plus de 500 personnes. À Aurignac, l'opération s'est achevée par une manifestation dans les rues de la commune. À Encausse on a tiré des cordes. Les parents, une fois leur enfant laissé à l'école se sont associés de bonne grâce à cette initiative.

Éducation. Les parents d'élèves poursuivent leur mobilisation. Hier ils ont formé une chaîne humaine.

Photo DDM, Thierry Bordas


Les parents d'élèves ne s'en laissent pas compter. Hier matin, entre 8 à 9 heures, plus de 70 écoles de Haute-Garonne (selon les syndicats et comités de parents d'élèves) ont été encerclées par une chaîne humaine. Bras dessus, bras dessous, les parents et enseignants des écoles maternelles se sont relayés pour une opération flash. Ils protestent contre « une école à deux vitesses », explique Mireille Sagau-Borgetto, secrétaire générale de la FCPE 31. Les pancartes, tracts et banderoles annoncent la couleur : les « Touche pas à mon école » ou les « Darcos, tu nous casses… l'école » donnent le ton. L'entrée des écoles n'était pas bloquée : « Cette mobilisation est symbolique ; on veut sensibiliser les parents et montrer notre attachement à l'école publique », résume Cécile Esquerré, parent d'élève FCPE de l'école Reille. Jean-Louis Baglan, l'inspecteur d'académie indique que « le mouvement a été marginal dans le département ».

Les parents d'élèves et professeurs accumulent les mécontentements : « c'est une volonté générale de casser l'école publique » insiste Cécile Esquerré. Les nouveaux programmes de l'école maternelle, la suppression de 3 000 postes de Rased (Réseaux d'aide spécialisée aux élèves en difficulté)… la liste des désaccords est longue : « La grande section va être transférée à l'école élémentaire et l'obligation de scolarité va passer à cinq ans au lieu de six », dénonce Mireille Sagau-Borgetto.

Jean-Louis Baglan, l'inspecteur d'académie précise : « C'est normal que les parents marquent leur attachement mais l'école maternelle n'est pas menacée ».

Nouveau mouvement après les vacances

Les parents se soucient de l'avenir de l'enseignement en général. « Nous sommes attachés à une école de l'égalité des chances que nous souhaitons préserver pour demain », déclare un groupe de parents d'élèves de l'école maternelle des Amidonniers. Les mobilisés s'inquiètent d'une possible conversion de la maternelle en jardin d'enfants sans instituteur. « Le système est déjà testé dans trois départements », rappelle Mireille Sagau-Borgetto.

Les parents n'abandonneront pas leur combat. Dès la rentrée des classes, le mouvement reprendra : « Il va y avoir une forte mobilisation contre la carte scolaire qui est présentée le 6 mars », prévoit Mireille Sagau-Borgetto. Une nouvelle nuit des écoles est préparée pour le 10 mars et avant « on prévoit un blocage en Haute-Garonne ou une descente aux flambeaux », anticipe Cécile Esquerré.

Pauline Amiel


Saint-Jean-du-Castillonnais. Ils ont manifesté pour conserver « notre école »
La chaîne des parents devant l'école de Saint-Jean-du-Castillonnais, vendredi matin. Photo DDM.
Vendredi, les parents d'élèves de toutes les écoles du Castillonnais se sont joints à une action qui a eu lieu dans toute la France : « Attachons-nous à notre école et faisons reculer définitivement tout projet d'amputation de la maternelle ». Un mouvement pacifiste, bon enfant, les parents se sont donné la main pour faire une chaîne afin de montrer d'une façon symbolique qu'ils étaient solidaires pour réagir contre les mesures prises à l'encontre des maternelles, leur attachement à un système éducatif reconnu partout en Europe : « Notre action est certes pacifique mais résolue, disait un délégué des parents, et traduit notre détermination à ne pas laisser démanteler la maternelle sans rien faire ; elle est destinée à la fois à alerter et à exprimer notre opinion par un moyen inédit ». D'autre part, le collectif ariégeois (collectif.ariegeois@free.fr) refuse le fichier « base élèves 1er degré », qui est un système de gestion informatique de données à caractère personnel concernant tous les enfants en âge d'être scolarisés. « C'est un fichier qui nous inquiète quant au devenir de ses futures utilisations. » Ce collectif est, en outre, affilié au CNRB (collectif national contre base élèves).

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LA DEPECHE - Toulouse

http://www.ladepeche.fr/article/2009/02/10/538215-Toulouse-Parents-et-enseignants-se-regroupent-dans-la-contestation.html
Toulouse. Parents et enseignants se regroupent dans la contestation
Lalande. Ecoles des quartiers Nord.
Les parents ont manifesté devant l'école en fin de semaine dernière.
Début décembre l'Alape (Association Lalandaise des Parents d'Elèves) a organisé une réunion avec les enseignants de l'école primaire de Lalande afin de discuter du projet Darcos.
Suite à ce débat, la décision a été prise de mettre sur pied une réunion avec tous les parents et enseignants des écoles maternelle et primaire de Lalande et d'y associer d'autres groupes scolaires du quartier afin de mener des actions communes. Les écoles Jules Ferry, Alain Fournier, Curie et Negreneys ont rejoint le mouvement et participé, le 20 janvier, à l'action : « La nuit des écoles ».
Ce mouvement a abouti à la création du Collectif des Quartiers Nord qui a participé à la descente aux flambeaux le mardi 3 février à l'église des Minimes.
Vendredi dernier les membres du collectif ont participé, devant l'école maternelle Jean Monnet, à une action nationale intitulée : « Attachons-nous à notre école ».
A la rentrée des congés, les organisateurs sont bien décidés à continuer à participer au mouvement national s'ils estiment que le ministre ne les a pas écoutés. D'autres manifestations spectaculaires ne sont donc pas à exclure.
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LA DEPECHE - REVEL
http://www.ladepeche.fr/article/2009/02/10/537812-Revel-Les-parents-d-eleves-s-enchainent.html


Revel. Les parents d'élèves s'enchainent
Education. Ils ont manifesté à l'école de Couffinal, vendredi.
Les parents d'élèves de Couffinal ont mené une action symbolique, vendredi matin, avant 9 heures, à l'école.
A Couffinal, des parents d'élèves, soucieux de l'avenir de l'école maternelle, se sont retrouvés, vendredi dernier. Peu avant la rentrée des classes, ils ont mené une action symbolique en s'attachant aux grilles de l'école. Le message était très clair : « Nous tenons à notre école maternelle et plus généralement à une école publique de qualité. Nous restons vigilants et mobilisés », affirmaient les parents d'élèves présents ce matin-là. Cette action illustre une inquiétude qui se généralise face aux projets de réforme de l'Education que les parents d'élèves jugent : « précipitées ». Pour répondre aux propos tenus par le ministre de l'Education Nationale, Xavier Darcos, qui se posait la question du recrutement des enseignants de maternelle, en se demandant : « s'il était vraiment logique, que nous fassions passer des concours bac +5 à des personnes dont la fonction va être essentiellement de faire faire des siestes à des enfants ou de leur changer les couches ? » ; les parents d'élèves de Couffinal sont d'accord sur le fait que : « les apprentissages de maternelle sont essentiels et fondateurs pour le développement de l'enfant ». Justement, ils dénoncent aussi le projet de recul de l'âge d'entrée en maternelle, passant de 3 à 4 ans : « sans que le Gouvernement ne précise si à 2 et 3 ans, les enfants auront accès à l'école publique gratuite ».
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LA DEPECHE - Vallesvilles
http://www.ladepeche.fr/article/2009/02/10/538081-Vallesvilles-Parents-et-enseignants-le-long-de-la-RN-126.html

Education. Mobilisation importante à Bourg-Saint-Bernard et Vallesvilles.
Une chaîne humaine très solidaire se prépare à informer les automobilistes de la RN 126.
Le regroupement pédagogique intercommunal « Bourg-Saint-Bernard- Vallesvilles-Gauré » est constitué de 5 classes réparties sur les 3 communes. Dans le cadre de l'action nationale « Attachons-nous à notre école ! », parents et enseignants de tout le RPI ont décidé de faire savoir leur colère face aux réformes qui menacent l'école. Leur action du 6 février a démarré vers 17h après la classe, au centre de Vallesvilles, le long de la RN 126. Les gendarmes sont venus courtoisement rappeler les règles de sécurité. Mme le maire et un élu ont expliqué que la municipalité, chargée de la sécurité dans la commune, s'opposait à ce que les manifestants se positionnent au bord de la route, la nuit tombant et proposait que la manifestation ait lieu en contrebas de la route devant la mairie.
sensibilisation
Le but de l'action étant de sensibiliser un maximum de personnes à leurs inquiétudes, les manifestants ont maintenu leur opération d'information sur les trottoirs de la RN 126 avec des panneaux aux slogans divers « Oui pour l'accueil des petits », « Non aux suppressions de postes », « Touche pas à mon école »….résumant leurs principales inquiétudes sur la possible disparition de la petite section de maternelle remplacée par les jardins d'éveil et donc la perte de l'école publique et gratuite au service de tous…, la réduction de l'action des Réseaux d'Aide Spécialisée pour Enfants en Difficulté alors qu'aucun enfant n'est à l'abri de difficultés scolaires, la création des Etablissements Publics d'Enseignement Primaire regroupant plusieurs écoles, en réduisant ainsi le nombre et mettant l'administratif au cœur de l'éducation… Les manifestants ont reçu de nombreuses marques de sympathie de la part des automobilistes. Malgré le froid cette journée de mobilisation n'a pas été un mouvement marginal dans le Lauragais : Caraman, Lanta, Tarabel, Vallesvilles…

LA DEPECHE - AGEN
http://www.ladepeche.fr/article/2009/02/06/536261-Agen-Les-parents-d-eleves-descendent-dans-les-rues.html 
Les parents d'élèves sont dans la rue. Depuis hier matin, devant l'entrée de l'école Pascalet à Casseneuil, c'est la mobilisation générale. Un mouvement quasi spontané qui fait suite à l'annonce de la décision de l'Éducation nationale de supprimer une classe et un poste de RASED l'année prochaine dans cette école élémentaire. « Cette menace qui pèse sur notre école entraînerait des classes surchargées et donc des conditions de travail inacceptables pour nos enfants », expliquent Sandra et Nadège, parents d'élèves, vêtues d'un tee-shirt affichant leur refus de fermeture de classe. Les parents d'élèves font signer des pétitions devant l'entrée de l'école mais aussi dans les commerces et un peu partout dans le village. Le maire Daniel Desplat et la municipalité sont solidaires de ce mouvement initié par tous les parents. Ils sont venus leur apporter leur soutien en début de matinée. « L'école Pascalet affiche une stabilité de ses effectifs (156 élèves en 2009). Probablement, 158 en 2010, alors nous ne comprenons pas pourquoi vouloir supprimer une classe et un poste de RASED », s'étonne Daniel Desplat. Et une mamie de rajouter : « Tous les professeurs de l'école travaillent pour que tous nos enfants reçoivent une scolarité de qualité. Et surtout qu'ils puissent tous entrer en sixième avec un bon bagage scolaire ».
Enchaînés
L'équipe enseignante est aussi solidaire de ce mouvement. Pendant une heure, les enseignants sont restés dehors avec les parents. Certains se sont même symboliquement enchaînés avec les élus et les manifestants. Pendant ce temps, les enfants jouaient dans la cour sous la surveillance d'autres parents. Parmi les actions de protestations, les manifestants ont empêché le directeur de l'école de faire son travail administratif.
À la fin de la journée de classe, les parents ont créé un ralentissement de la circulation routière à l'entrée du village à la hauteur de l'ancien foyer rural. Par cette autre action, « nous souhaitons sensibiliser un maximum de personnes sur la défense de notre école et le refus de toute suppression de classe et de poste d'enseignant. Nous demandons à l'Éducation nationale de prendre notre cas en considération ! ».
C'est aussi ce que demanderont les parents d'élèves de l'école Petit-Tour à Pujols engagés, eux aussi, dans une action de revendication pour protester contre la fermeture d'un poste à la rentrée 2009. Ils manifesteront à 17 heures. « Il s'agit de l'avenir de nos enfants ».

LA DEPECHE - Article sur "attachons-nous" au Faget
Le Faget - Les parents se mobilisent
http://www.ladepeche.fr/article/2009/02/07/536894-Le-faget-Les-parents-se-mobilisent.html

LA DEPECHE - Portet sur Garonne du 09-02-2009
EDUCATION : LES PARENTS SE SONT ENCHAÎNES A LA PORTE DE L'ECOLE

LA DEPECHE - GREPIAC
http://www.ladepeche.fr/article/2009/02/12/547444-Grepiac-Les-parents-veulent-proteger-l-ecole-publique.html
Grepiac. Les parents veulent protéger l'école publique
Une chaîne de parents entoure l'école pour la «protéger».
A Grépiac aussi,les parents d'élèves se sont mobilisés ce vendredi pour manifester leur attachement à l'école et montrer leurs inquiétudes envers les réformes proposées par le gouvernement.Depuis déjà plus d'un mois,ils ont mis en place l'opération «gilet jaune»:tous les matins,ils sont à la rentrée des classes et discutent,partagent,analysent avec tous les parents...et rassemblent les bonnes volontés. Vendredi,comme beaucoup d'autres parents de l'héxagone,ils étaient,dès potron-minet,devant leur école,pour la protéger symboliquement en faisant autour d'elle une chaîne de leurs bras.Fabrice Chapeleau, président de l'association des parents d'élèves, exprime leur inquiétude vis-à-vis des réformes proposées par le ministre,surtout en ce qui concerne la maternelle,craignant de voir disparaître la petite section et,peut-être même,la moyenne section:»Il faut que l'école reste ce qu'elle est!Ensemble,mobilisons nous!» assène-t-il avec force.»L'Ecole en démolition» unit et mobilise tous ces parents qui,ce matin,avaient sur elle un autre regard en accompagnant leur «tête blonde» pour une journée d'école...comme les autres.

LA DEPECHE - Grand Sud

Saint-ybars. Parents et élus main dans la main pour défendre l'école
La mobilisation contre les réformes de l'école poursuit son action afin de sensibiliser l'opinion publique. Et Saint-Ybars, avec 90 élèves dans l'établissement, 4 classes, maternelle, grande section cours préparatoire, cours élémentaire et cours moyen, au travers de la toute jeune association de parents d'élèves, veut aussi faire entendre sa voix. Tout juste créée, en décembre dernier, l'association qui compte déjà pas moins de 21 familles adhérentes met l'accent sur la suppression des maternelles : « La déscolarisation des enfants de 2 ans puis de 3 ans qui annonce la disparition programmée de l'école maternelle, dont on sait que l'enseignement dispensé par des professionnels est de qualité au profit de jardins d'éveil encadrés par du personnel non enseignant à la charge financière des familles et des mairies, n'est pas admissible pour nous ! » Francis Boy, maire et soutien indéfectible au plus proche des parents, y voit là « la fin de l'école ». Ainsi attachés au système éducatif actuel autant qu'au service public, les parents d'élèves, en écho au corps enseignant réfractaire aux réformes, montent au créneau pour faire barrage aux projets.

LA DEPECHE - GRAND SUD - HAUTE GARONNE
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http://www.ladepeche.fr/article/2009/02/09/537431-Education-Des-parents-s-attachent-a-l-ecole.html

Des parents s'attachent à l'école
Les enseignants et parents d'élèves ne baissent pas les bras ! Après la nuit des écoles, la retraite aux flambeaux dans les rues de Toulouse, ils ont poursuivi les actions contre les réformes du ministre Darcos qu'ils jugent inappropriées. En effet, à l'école Damaze Auba, ils se sont ligotés à la grille, action symbolique qui montre leur attachement à l'école maternelle, soutenus en cela par de nombreux parents, des élus de gauche dont Cécile Payan, conseillère municipale et Louis Bardou, conseiller général. Anne et Sophie, enseignantes, dont la colère ne s'apaise pas : «Nous sommes là pour défendre notre école maternelle qui devrait disparaitre au profit de jardins d'éveil payants» affirmaient-elles. Le discours du président de la République ne les a pas convaincues : «Nous ne sommes pas écoutés, Sarkozy a tout juste abordé les réformes de l'Education nationale et a dit qu'elles se poursuivraient malgré tout». Elles espèrent toujours alors disent-t-elles : «Nous continuerons à nous battre». Louis Bardou avouait aimer son école et pour cause :«A l'école j'y suis rentré à 3 ans et ressorti à 60 ans alors…». Jean Coste, enseignant à la retraite renchérissait : «Il n'y a pas de logique. Nous marchons à contre sens. Une école que tout le monde nous envie va être démolie. Que faudrait-il selon vous pour arrêter la marche en avant de la réforme?:«Nous sommes dans une logique financière. Rien ne semble les arrêter. Mais, qu'ils prennent donc modèle sur d'autres pays comme l'école finlandaise qui fonctionne très bien».
Cécile Payan ajoutait:«Puisque les messages plus subtils ne passent pas. Il faut des actions coup de poing telles que celle-ci. Il doit y avoir aussi, une plus grande prise de conscience de la part de tous les parents qui aux côtés des enseignants se battent pour l'avenir de nos enfants». Pour aller dans son sens, Anne-Marie Espinasse, directrice de la maternellen, incitait les gens à lire les rapports Tabarot et Papon Martin : «On y voit bien les propositions, c'est ainsi qu'ils se feront une idée»

LA DEPECHE - MONDONVILLE
Les parents d'élèves mobilisés aussi

Mobilisation des parents d'élèves de l'école caroline Aigle.
Malgré la pluie et le froid glacial, parents d'élèves et enseignants se sont mobilisés, vendredi dernier, à l'heure de la sortie des classes devant les groupes scolaires Jules Verne et Caroline Aigle de Mondonville. C'est toutefois dans une ambiance joyeuse qu'une chaîne humaine s'est formée afin de montrer l'attachement des familles et des enseignants à l'école maternelle publique. Par cette initiative, impulsée par le Conseil local des parents d'élèves de Mondonville, les parents d'élèves ont souhaité répondre aux menaces portées sur l'école maternelle et dénoncer « des réformes hâtives et incohérentes ». Cette action volontairement visible a permis de montrer la mobilisation des parents à la veille des vacances scolaires d'hiver.

LA DEPECHE - Saint-Sulpice
Les parents d'élèves manifestent leur soutien à l'école maternelle
http://www.ladepeche.fr/article/2009/02/11/546721-Saint-Sulpice-Les-parents-d-eleves-manifestent-leur-soutien-a-l-ecole-maternelle.html
Les parents d'élèves de St Sulpice ont manifesté leur soutien à l'école maternelle, vendredi à 17h15, à l'école Louisa Paulin, où une chaîne humaine a été réalisée. Cette manifestation était d'amplitude nationale : «Attachons nous à notre école» ( pour plus d'info voici le site Internet : http://attachons.nous.a.notre.ecole.over-blog.com/article-26695893.html ).
Lors de cette manifestation «contre la suppression des classes de maternelle de petite et moyenne section» les parents ont exprimé leurs craintes face à ce projet : « supprimer ces classes et les remplacer par des lieux passerelle revient à mettre les mères au foyer ! » lance une maman. « Et les lieux passerelle seront des lieux payants ! Qui pourra alors se payer ce luxe et combien y aura -t-il de places ? Déjà que dans les crèches il est difficile d'avoir une place ! » ajoute une autre maman. Devant l'école , enfants et parents étaient vraiment décidé à ne pas laisser passer une loi qu'un papa qualifiait de « dangereuse ». Car le calcul est vite fait pour ces parents qui dénoncent : « les postes d'enseignants de ces classes supprimées seront répartis sur le primaire et non pas dans les lieux passerelle. Tout comme les départs à la retraite qui ne seront pas remplacés ! Ce sera alors une éducation à deux vitesses…ceux qui pourront payer les lieux passerelle et les autres ! »
Oui …que deviendront les enfants dont les parents ne pourront pas payer ? Que veut-on faire de l'école ? Quel chemin de départ leur offre-t-on à ces bambins ? Voilà les questions que les parents se posent pour un début dans la vie de leurs enfants « où l'on risque d'oublier l'essentiel : les besoins des enfants… » conclut une maman. Les parents restent donc mobilisés.
S.Flèche

LA DEPECHE
http://www.ladepeche.fr/article/2009/02/07/536525-Education-nationale-Attaches-a-leur-ecole.html
http://www.ladepeche.fr/article/2009/02/07/536576-Fonneuve-Ecole-action-symbolique-mais-significative-du-malaise.html



La-Provence.jpg

















LA VOIX DU NORD
Une chaîne humaine pour montrer son attachement à l'école maternelle

| BILLY-BERCLAU |
Enfants et parents ont formé, vendredi en début d'après-midi, une chaîne humaine dans la cour de l'école maternelle Léon-Blum afin de montrer leur attachement à leur établissement scolaire.

C'est dans le cadre de la journée nationale « Attachons-nous à notre école », opération menée en réponse aux réformes envisagées ou déjà décidées par le ministère de l'Éducation nationale, parmi lesquelles la suppression des RASED (réseaux d'aide spécialisé pour les élèves en difficulté) ou encore la suppression des petites et moyennes sections de maternelle pour les remplacer par des jardins d'éveil payants, que s'est déroulée cette action.
Comme leurs homologues de l'école primaire Sophie-Berthelot, quelques parents d'élèves ont tenu à manifester pacifiquement pour montrer leur opposition à ces mesures. Mais la journée d'action a aussi été l'occasion pour eux de montrer leur malaise face à la possible suppression de la classe des petits à la rentrée scolaire de septembre 2009.
Louise Thérage, suppléante et maman d'élève manifestante, fait part de sa crainte pour l'avenir de l'école : « La section des petits est vraiment en danger. L'institutrice part à la retraite et ne sera pas remplacée. Il faut réagir, même s'il y a peu d'espoir et qu'on a l'impression d'être un peu des laissés pour compte. » « Nous avons mobilisé les habitants du quartier, même les commerçants, pour les informer de cette décision. Si la classe ferme, l'effectif de l'école maternelle passera de 58 à 40 », ajoute Mme Thérage qui se demande : « Quelles seront les répercussions de cette fermeture sur les écoles primaires qui accueillent les enfants venant de Léon-Blum ? » •

LE MIDI LIBRE
Ecoles
Une chaîne humaine formée à la Montée de Silhol
Hier matin, sur le passage piéton menant à l'école alésienne de la Montée de Silhol, une dizaine de parents d'élèves et d'enfants a formé une chaîne humaine, participant ainsi à l'opération nationale "Attachons-nous à notre école". Ce mouvement, parti de Poitiers, a été suivi dans au moins huit établissements scolaires gardois (sur 417 en France).
A Alès, les parents ont mis leur gilet jaune avant de déplacer la réplique en carton, très symbolique, d'une école maternelle et de la poser au milieu de la route pour marquer le coup. Plusieurs parents ont profité de l'instant pour distribuer des fables. D'autres ont pu évoquer les causes de leur mouvement de grogne. « En tant que parents, nous sommes sensibilisés aux propos du ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos qui a quand même réduit le travail des enseignants de l'école maternelle au changement de couche-culotte ! » Les parents d'élèves mobilisés ne veulent pas de l'évaluation des élèves de CM2, du fichier base des écoliers ; ils s'opposent également au remplacement du conseil d'école par un conseil d'administration. « Il ne faut pas créer de différences et de mise en concurrence des écoles. » Le mouvement "Attachons-nous à notre école" a touché hier ; entre autres, les écoles de Saint-Jean-de-Serres, Canaules, et Générargues (lire aussi en page 8). D'autres mouvements de ce genre sont annoncés après les vacances scolaires, à partir du 16 février prochain.

Extrait - LE MIDI LIBRE - LUNEL
http://www.midilibre.com/articles/2009/02/06/20090206-LUNEL-Les-parents-d-39-eleves-en-premiere-ligne.php5

Réforme Darcos Les parents d'élèves en première ligne
ÉDUCATION
Pour la première fois à Lunel, un collectif de parents s'associe à la fronde des enseignants et monte au créneau face à la réforme de l'écoleS'attacher à l'école, symboliquement. Un moyen comme un autre que les parents d'élèves de la maternelle Arc-en-ciel, à Lunel, ont trouvé pour se faire entendre. Depuis plusieurs semaines, à travers le canton, la colère monte.
Marsillargues, Saussines, Saint-Christol, Lunel-Viel, les actions dans les écoles se multiplient et ne semblent pas près de s'arrêter en chemin. Il a fallu du temps pour que l'est de l'Hérault se réveille mais, autour de Lunel et dans la ville, les parents commencent à bouger. Hier, à la sortie de l'école Arc-en-Ciel, ils étaient une trentaine devant la banderole "Darcos, touche pas à notre maternelle". Réunis dans la bonne humeur mais déterminés à éveiller les consciences des parents encore sceptiques. « Ma fille Manel est en maternelle, je me sens concernée par les réformes et j'ai peur. C'est déjà la galère pour trouver des crèches, que va-t-on faire s'ils ferment les maternelles ? » Laïla fait partie du collectif de parents d'élèves du bassin de Lunel. Comme elle, de plus en plus de parents se cristallisent autour de ce regroupement plus ou moins informel, mêlant enseignants, parents encartés et non-encartés à la FCPE (Fédération des conseils de parents d'élèves), et dont les rangs grossissent à chaque action sur le terrain.
Dans le noyau dur du collectif, Marie Delphin, Jean-François Saboy, Alain Buis et d'autres multiplient les réunions, les actions symboliques, la sensibilisation des parents et enseignants lunellois. Tous ont des bambins en maternelle. « Je n'ai jamais vraiment été militante mais là, c'est mon instinct de mère qui parle. J'ai peur pour mes enfants, j'ai peur pour l'avenir de l'école et de la société, au-delà de la politique », confie Marie Delphin en regardant Justin, son cadet.
À l'origine du mouvement lunellois, les chefs de file espèrent faire « boule de neige » et toucher davantage d'écoles. Victor-Hugo, Marie-Curie, Jacques-Brel, Pont- de-Vesse, Mario-Roustan... au centre-ville, la mobilisation prend de l'ampleur. « Notre objectif est d'informer le plus de parents possible sur les conséquences de la réforme Darcos sur nos enfants. On va développer de nouvelles actions dans les quartiers moins sensibilisés, au nord de la ville notamment. » Et le collectif prépare déjà des opérations pour la rentrée des vacances. À Vérargues, le maire leur a donné son autorisation pour organiser une déclinaison de la nuit des écoles, qui a lieu un peu partout en France. Une occupation pacifique des locaux, à base de sandwiches et de sacs de couchage improvisés. L'écriture d'une motion aussi, que le collectif va porter aux communes du bassin lunellois pour interpeller les édiles.
Toujours dans le souci de communiquer autour de la réforme, Marie Delphin compte organiser, dans chaque école, des "fins d'après-midi conviviales". « Nous voulons que les parents accueillent d'autres parents à la sortie des écoles pour discuter, informer et créer des liens. »Gonflés à bloc, les membres du collectif lunellois ont décidé de mettre l'accent sur sept points qu'ils reprochent à la réforme du ministre de l'Éducation nationale.
À travers le dialogue et la mobilisation, ils comptent bien contribuer au mouvement qui grandit à travers le pays. Jamais, à Lunel, la colère des parents d'élèves ne s'était ainsi exprimée. Un élan sans précédent que la réforme aura au moins réussi à provoquer.
PS : « Ça nous tombe dessus » Philippe Moissonnier, secrétaire de la section du Parti socialiste de Lunel? est clair : « La réforme Darcos arrive du haut en bas. Sans concertation, elle tombe sur la tête de tout le monde : les enseignants, les parents et les élus. Aujourd'hui, cette réforme est porteuse de tensions entre les différents membres de la communauté éducative. » Quand on demande au leader du PS local s'il y voit du positif sur le fond, il répond : « À Lunel, de la maternelle au lycée, ce seront cent postes en moins ! Il y a ce que Darcos dit et ce qu'il fait réellement. Il dit : "On veut lutter contre l'échec scolaire" et on supprime les Rased. » L'homme qui se défend de « faire de la politique politicienne sur le dos des enfants » , estime « que l'on passe d'un service public de l'Éducation nationale à un marché de l'éducation » . Si la réforme Darcos « soulève un vrai problème, elle n'apporte pas de bonnes solutions. Nous tirons la sonnette d'alarme et soutenons, bien sûr, parents et enseignants. » CHIFFRES
6 770 élèves Les effectifs scolaires 2008-2009 de Lunel
(écoles privées, primaires
et secondaires), atteignent un total de 6 770 élèves.
En sections maternelles ,
on compte 881 enfants
pour 37 classes (moyenne : 23,81 enfants par classe, dont 24 bébés dans l'une).
Le nombre d'enfants scolarisés dans les écoles élémentaires publiques (1 er degré) est de 2 383 élèves avec une moyenne par classe 21,43 élèves. Dans les écoles élémentaires privées , leur nombre est de 298 (147 en maternelles et 463 au collège Sainte-Thérèse) pour 27,09 élèves par classe.

Élodie VALLEREY
Blog du collectif parents enseignants du bassin de Lunel : collectifparentssg.blogspot.com.

LE MIDI LIBRE

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A partir de l'action de l'école maternelle Luis-de-Camoens, groupe scolaire Aiguelongue
(Montpellier).








Le MIDI LIBRE  - ALES
http://www.midilibre.com/articles/2009/02/06/20090206-ALES-Chaine-humaine-dans-la-cour-de-l-39-ecole.php5

GénérarguesChaîne humaine dans la cour de l'école
RAPPEL
Une classe de maternelle est menacée de fermeture Après l'occupation de l'école et la veillée nocturne, les parents d'élèves du RPI (regroupement pédagogique intercommunal entre Générargues, Mialet et Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille) poursuivent leur mouvement de contestation. Ce matin, ils se joindront au mouvement national initié par la FCPE (*) et formeront une chaîne humaine dans la cour de l'école. Ce sera à Générargues, là où une classe du RPI est menacée.
Les parents d'élèves protesteront sur le fond et sur la forme : ils n'ont pas été conviés à l'entrevue avec l'inspecteur d'Académie, prévue aujourd'hui à Nîmes pour évoquer la fermeture probable de cette classe à la rentrée de septembre. Seuls les élus du RPI pourront s'exprimer.
Les parents sont invités à se rassembler vers 11 heures, et à s'attacher jusqu'à 11 h 50, au moment de la sortie de leurs enfants.
E. Dz.
Mouvement appelé "Attachons-nous à notre école". Plusieurs écoles du secteur vont le relayer aujourd'hui, en formant une chaîne humaine. A lire dans notre édition de demain.

LE PROGRES
Article à partir de l'action réalisée à l'école Georges Lévy - Vénissieux.

L'EXPRESS
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/education/reforme-des-ecoles-les-types-de-mobilisation_739947.html
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/education/enseignement-des-parents-attaches-a-leur-ecole_739047.html

LA NOUVELLE REPUBLIQUE
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Article à partir d' "attachons-nous" à Saulgé (86)


Dans la Nouvelle République également :
Article en page Vienne à partir de l'action de l'école Paul Fort (Poitiers - 86)
Articles en pages intérieures sur les actions réalisées à Ligugé, Valdivienne et Couhé (86)

Article sur l'action à Monnaie (37)
http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/index.php?dep=79&num=1104346
http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/index.php?dep=79&num=1105793

LA NOUVELLE REPUBLIQUE
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LA PROVENCE

http://www.ladepeche.fr/article/2009/02/09/537301-Saint-ybars-Parents-et-elus-main-dans-la-main-pour-defendre-l-ecole.html

LE PARISIEN - A partir de l'action aux écoles Palikao et Tourtille.
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LE PARISIEN - Article "Une chaîne humaine à la maternelle".
A partir d' "attachons-nous" à Pierrelaye.


LE REPUBLICAIN LORRAIN
http://www.republicain-lorrain.fr/fr/sarrebourg/GRDC_URWeb_Get.aspx?iCategorieRedactionnelle=87&iurweb=311786

HAMPON - Attachées à leur école

Extrait : Hier matin quelques mères d’élèves scolarisés à l’école Robert-Doisneau de Hampont ont souhaité être scotchées de manière à montrer leur profond attachement à l’école maternelle, telle qu’elle fonctionne aujourd’hui, et plus généralement aux ense...

LA VOIX DU NORD 
http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2009/02/07/article_pour-l-education-de-leurs-enfants-des-pa.shtml

Lens et alentours - Pour l'éducation de leurs enfants, des parents « attachés » aux écoles
Hier matin, à l'école maternelle André-Parent d'Avion.

| SYMBOLIQUE |

Un geste symbolique - s'attacher aux écoles - pour s'opposer aux suppressions de moyens dans l'Éducation nationale. Tel était l'appel lancé hier au niveau national et relayé sur le plan local. On comptait entre trente et quarante personnes devant les établissements où l'opération a eu lieu, par le biais du comité citoyen pour l'école publique Artois-Gohelle.

Les actions se multiplient contre la suppression des moyens de l'Éducation nationale. Après la Nuit des écoles, les distributions de tracts et les manifestations, un appel national était lancé à la population pour manifester son « attachement » à l'école publique. Il était relayé au niveau local par les parents et via le comité citoyen pour l'école publique Artois-Gohelle. À Lens, le mouvement a été suivi dans les écoles Curie, Pasteur, Buisson, Maës et Lapierre, à Liévin (maternelle Chopin), à Avion (maternelles Lanoy et Parent), à Sallaumines (Épinette) ou encore Vendin-le-Vieil, Méricourt ou Bruay. Qui manifeste ? Des parents, des élus, des syndicalistes, mais aussi le public qui se sent concerné.

63326137396530393433643533666530?Penser à l'avenir


Ils ont exprimé et expliqué aux autres leur opposition aux projets du gouvernement, comme à Lens, à l'école Curie : «  On était une quarantaine de personnes du collectif lensois, on a expliqué notre action aux parents, qui nous regardaient avec des yeux ébahis », expliquait Éric Caudron, parent d'élèves. « Notre objectif est la défense de l'Éducation nationale "au complet", en pensant à l'avenir : la maternelle, le primaire, le collège : bientôt la nouvelle carte scolaire sera connue, la réforme des lycées est reportée mais va être mise en oeuvre, et celle des universités... C'est une prise de conscience globale. » Le comité Artois-Gohelle va centraliser les photos prises dans les établissements et les transmettre à la presse, à l'inspection d'académie et au ministère de l'Éducation nationale.

Cette action préfigure le mouvement d'importance que le comité Artois-Gohelle a lancé pour mercredi prochain( le 11). Une manifestation et un carnaval républicain (déguisements colorés et instruments bruyants) sont prévus face à l'inspection académique d'Arras, de 14 h 30 à 15 h 30.

Une délégation sera reçue par l'inspecteur d'académie. Les revendications du comité sont maintenues : arrêt des suppressions de postes, maintien de l'accueil des 2-3 ans en maternelle, maintien et renforcement des RASED, création de postes d'enseignants supplémentaires.

LA VOIX DU NORD
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Lens/actualite/Autour_de_Lens/Au_Nord_de_Lens/2009/02/07/article_les-parents-d-eleves-attaches-a-leur-eco.shtml

Les parents d'élèves attachés à leur école

Pendant une quinzaine de minutes, les parents d'élèves de la maternelle Jules-Ferry ont bloqué l'accès à l'établissement.
| VENDIN-LE-VIEIL |
Vendredi matin, à l'heure habituelle de l'entrée en classe, des parents d'élèves ont bloqué une quinzaine de minutes l'accès à l'école maternelle Jules-Ferry.

Ce mouvement contestataire et pacifique, relayé par l'APE (association de parents d'élèves) de la Cité 8, était organisé à l'occasion de l'action nationale « Attachons nous à notre école ».

Après avoir accroché une banderole sur les grilles de l'établissement scolaire, les parents et les enfants ont formé une chaîne humaine devant l'école, une action symbolique pour protester contre les différentes réformes envisagées ou déjà mises en place par le ministère de l'Éducation nationale.

Une longue listede craintes

Parmi les principaux points de mécontentements mis en avant par les manifestants: la création de jardins d'éveil payants en remplacement des classes de maternelle, la mise en place de l'aide individualisée qui entraîne la suppression de douze jours de classe par an pour tous les élèves, la suppression des IUFM, la suppression des RASED (réseaux d'aides spécialisées pour les enfants en difficulté).

À ceci s'ajoute des inquiétudes concernant la création d'établissements publics d'éducation primaire qui transformerait l'école communale en école cantonale, le non-remplacement des enseignants durant les absence de courte durée et la gestion des longues absences par « une agence de remplacement », le service minimum d'accueil les jours de grève assuré par des personnes non qualifiées, le fichage informatique des élèves avec le fichier « base élèves », le non renouvellement par le gouvernement des conventions avec les associations éducatives qui entraînera dès août 2009 la suppression de 1 500 postes d'enseignants détachés et la fin des rencontres sportives et des sorties culturelles pour les scolaires. Pas moins.
Autant de mesures qui, selon les parents, nuiront à la réussite de leurs enfants et leur coûteront cher financièrement.

L'action de vendredi avait aussi pour but de faire connaître l'ensemble de ces réformes au plus grand nombre. « Ses informations circulent sur internet, sur certains sites, mais le grand public n'est pas au courant », reproche ainsi Christelle Tissier, la présidente de l'APE de la Cité 8.
Du côté de l'école, le blocage n'a semble-t-il pas été gênant pour l'équipe pédagogique. Interrogée, la directrice de la maternelle Ferry a déclaré soutenir l'action menée par l'APE.
À noter qu'un appel à la mobilisation avait également été lancé au même moment devant les écoles primaires et maternelles de Vendin centre. •

MIDI LIBRE GENERARGUES

http://www.midilibre.com/articles/2009/02/06/20090206-ALES-Chaine-humaine-dans-la-cour-de-l-39-ecole.php5

Chaîne humaine dans la cour de l'école
RAPPEL
Une classe de maternelle est menacée de fermeture Après l'occupation de l'école et la veillée nocturne, les parents d'élèves du RPI (regroupement pédagogique intercommunal entre Générargues, Mialet et Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille) poursuivent leur mouvement de contestation. Ce matin, ils se joindront au mouvement national initié par la FCPE (*) et formeront une chaîne humaine dans la cour de l'école. Ce sera à Générargues, là où une classe du RPI est menacée.
Les parents d'élèves protesteront sur le fond et sur la forme : ils n'ont pas été conviés à l'entrevue avec l'inspecteur d'Académie, prévue aujourd'hui à Nîmes pour évoquer la fermeture probable de cette classe à la rentrée de septembre. Seuls les élus du RPI pourront s'exprimer.
Les parents sont invités à se rassembler vers 11 heures, et à s'attacher jusqu'à 11 h 50, au moment de la sortie de leurs enfants.

OUEST FRANCE
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A partir de l'action de l'école des tuileries (Vendée)







OUEST FRANCE - CAEN
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Des-parents-d-eleves-attaches-aux-grilles-de-l-ecole-des-Millepertuis-a-Caen_-817837--BKN_actu.Htm


Des parents d'élèves attachés aux grilles de l'école des Millepertuis à Caen

Ce vendredi matin, des parents d'élèves, enseignants et militants syndicaux se sont attachés aux grilles de l'école des Millepertuis, à Caen, dans le quartier de la Demi-Lune. Objectif : manifester leur attachement à l'école maternelle, menacée par la réforme de Xavier Darcos. En novembre, le ministre de l'Education ava
it annoncé que des jardins d'éveil pourraient remplacer la maternelle pour les 2-3 ans.

PARIS NORMANDIE
http://www.paris-normandie.fr/index.php/cms/13/article/101751/Pour_une_ecole_maternelle_laique
 
Pour une école maternelle laïque
 
Les parents ont formé une chaîne devant l'école maternelle Renan
SOTTEVILLE-LES-ROUEN.Des parents toujours aussi mobilisés pour dénoncer la suppression de l'accueil des enfants de 2 et 3 ans.
Au groupe scolaire Renan-Michelet de Sotteville, devant l'école maternelle, les parents ont organisé une chaîne humaine pour protester contre la réforme de Xavier Darcos, ministre de l'Education nationale, qui prévoit la suppression de l'accueil des petits de 2-3ans en école maternelle.
« Nous sommes opposés à ce projet qui prévoit le remplacement des classes de maternelle gérées par l'Education nationale au profit de jardins d'éveil gérés par les municipalités, » expliquent les parents. A Sotteville, comme ailleurs dans l'agglomération, la mobilisation des parents est importante et ils n'ont pas l'intention de laisser faire. « Où allons-nous avec ce projet ? Vers des garderies ? Nous n'en voulons pas ! L'école publique voulue par Jules Ferry doit continuer, » commente une maman d'un bambin de 3 ans.
Dans les semaines qui viennent, d'autres manifestations se dérouleront dans ce groupe scolaire : le jeudi 12 février, parents d'élèves et enseignants doivent se retrouver pour prendre connaissance de documents prouvant que certaines décisions sont déjà en cours de mise en place.

PARIS-NORMANDIE

 http://www.paris-normandie.fr/index.php/cms/13/article/99713/

PRESSE OCEAN - SUD LOIRE
Les parents de l'école maternelle La Houssais ont montré leur attachement à l'école.

Hier, 16 h 15. Une quinzaine de parents d'élèves est réunie dans le parc de l'école maternelle de la Houssais.
Comme un peu partout en France, ils ont décidé de former une chaîne humaine à l'aide de rubans multicolores. « L'idée, c'est de montrer notre attachement à l'école maternelle à la française», témoigne Christian Urbain, un parent. «C'est une manière de sensibiliser les familles, les citoyens, les élus et les médias à l'heure où le gouvernement envisage de supprimer les petites et les moyennes sections. Nous refusons tout projet d'amputation de la maternelle ».

Mais à cette heure-là, il est difficile de mobiliser les bonnes volontés. « Les vacances démarrent et de nombreux parents sont encore au travail », constate Christian Urbain. Du coup, l'action menée par les parents, accompagnés d'enfants, d'enseignants et de Véronique Charbonnier (l'élue en charge du quartier), tourne à la manifestation éclair. « De toute façon, il n'était pas question de gêner ni de bloquer personne, pas plus de paralyser l'école », témoigne Hélène Van Oost, responsable locale de la FCPE. « On veut simplement défendre la maternelle. Car il ne faut pas l'oublier : cette école permet à chaque enfant de devenir un élève »
Denis Bourdeau

SUD-OUEST - BASSEAU
http://www.sudouest.com/charente/actualite/angouleme/article/496450/mil/4145667.html
Une chaîne humaine devant l'école
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Les parents d'élèves mobilisés hier matin. (PHOTO ISABELLE LOUVIER)
Les parents d'élèves mobilisés hier matin. (PHOTO ISABELLE LOUVIER)

Hier, ils étaient une bonne quarantaine de parents d'élèves, accompagnés par leurs enfants, à se tenir la main devant l'école maternelle Saint-Exupéry. À l'appel de la FCPE, les parents ont formé une chaîne humaine symbolique afin de protester contre l'éventuelle fermeture, à la rentrée prochaine, d'une classe de l'école nichée au coeur du quartier de Basseau.

« Le cas de cette école nous préoccupe depuis un certain temps, note Georges Tritz, président de la FCPE. Il y a deux ans, nous avions créé un collectif alors que l'école comptait 102 enfants. » Depuis, l'école a perdu des élèves, au même rythme que le quartier perdait ses habitants.

« Nous sommes passés en dessous de la barre des 90 élèves pour cinq classes, en l'occurrence 88 élèves. Le quartier s'est vidé au fur et à mesure des opérations de rénovation urbaine », déplore Georges Tritz.

Service public

Mais le président de la FCPE n'accepte pas que la réponse de l'État à cette baisse de population se traduise par une application comptable de la politique de seuil : « Nous sommes ici en ZEP, dans une zone où l'accueil des enfants dès l'âge de 2 ans est primordial dans la mesure où il permet de réduire les risques de rupture avec le milieu scolaire dans le futur. Nous sommes dans un quartier où l'école demeure un élément de socialisation importante. Qui plus est, ici à Basseau, l'école est considérée comme le dernier des services publics... Et les familles ne reviendront pas dans ce quartier si elles s'aperçoivent qu'il est déserté par les services publics ou par les commerces. »

La FCPE invite donc l'Éducation nationale à faire le dos rond et à maintenir des classes dans l'attente de la reconquête d'un habitat qui finira bien par être rénové... De fait, les arguments des parents sonnaient hier comme autant d'appels au secours de citoyens d'un quartier qui vit mal sa désertification progressive. « On a perdu beaucoup de familles, déplore Isabelle Arras, responsable locale de la FCPE. On ne veut pas perdre notre école par-dessus le marché. »

Des mamans, qui n'ont pas hésité à braver la fraîcheur matinale, se disaient prêtes à poursuivre leur action pour maintenir de la vie dans les murs de l'école Saint-Exupéry. « On a grandi ici, on a vécu dans cette école. Et on veut la même chose pour nos enfants. On compte bien rester en première ligne pour défendre cette établissement et pour éviter que le quartier ne meure."
Auteur : bertrand ruiz

SUD OUEST Talence
SudOuest.com

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Plus d'une cinquantaine de parents s'était regroupée, vendredi 6 février, devant l'école Joliot-Curie à Talence, pour faire entendre son désaccord face aux réformes concernant l'école la maternelle. « Sauvons l'école maternelle, attachons-nous à notre école », ces slogans repris par tous, avaient pour but « de sensibiliser, d'informer les parents. Cette manifestation n'est ni catégorielle ni pour la défense d'un statut mais pour défendre l'avenir des enfants » précisent les parents.


Identifiables à leurs gilets fluorescents, les plus actifs dans le mouvement informent sur la suppression des Rased, la création des jardins d'éveil ou encore sur la mobilisation conjointe des enseignants. Une volonté de partager l'information, de provoquer une prise de conscience qui a sa place dans un mouvement national intitulé « Les parents sont attachés à l'école maternelle ».


SUD OUEST BEARN
http://www.sudouest.com/bearn/actualite/orthez/article/497661/mil/4150221.html

Des parents enchaînés, mobilsés pour sauver leur école. (photo patrick girard)
A l'instar des écoles de la plaine de Nay (Angaïs, Arros-de-Nay, Assat, Igon et Mirepeix), les parents d'élèves de l'école maternelle de Monein ont tenu à rejoindre le mouvement Attachons-nous à notre école, fédéré à travers le blog du même nom (initiative identique à la Nuit des écoles) et regroupant parents d'élèves et citoyens.
Ainsi une action symbolique a été menée par quelques dizaines de parents qui se sont « enchaînés » vendredi après la classe, devant l'entrée de l'école, pour la sauvegarde de l'école maternelle, la scolarisation des moins de 3 ans, et contre les jardins d'éveil et les classes surchargées.
Les Moneinchons ont connu la suppression de deux classes en trois ans pour fonctionner avec des effectifs de 30 élèves par classe. Certains enfants ayant 3 ans en 2009 n'ont pu être scolarisés faute de place.
Des inquiétudes perceptibles chez les parents, qui veulent « éviter le remplacement de ce service public qu'est l'école par des services municipaux ou privés », comme témoigne l'un d'entre eux.

SUD OUEST
http://www.sudouest.com/gironde/actualite/langonnais/article/496319/mil/4146496.html
http://www.sudouest.com/gironde/actualite/langonnais/article/496031/mil/4144315.html
http://www.sudouest.com/charente/actualite/angouleme/article/496450/mil/4145667.html

SUD OUEST
http://www.sudouest.com/charente/actualite/cognac/article/498654/mil/4155084.html

CHERVES.
Les gilets jaunes s'attachent à l'école

Chaîne de parents et d'élus, attachés à la défense de l'école. (photo pierre barreteau)
Vendredi 6 février, juste avant la sortie des enfants de l'école maternelle Jean-Marie-Weber, ce sont plus de 40 personnes, revêtues de leurs gilets jaunes, qui ont fait une chaîne humaine, en toute sérénité, mais avec détermination. Parmi elles se trouvait Marie-Line Reynaud, députée de la circonscription.

Lancé après l'apéro des écoles du 16 janvier, à Cherves, un collectif de parents (courriel : gilets.jaunes@aliceadsl.fr) s'est mobilisé pour faire échec « à toute amputation de la maternelle ». Pas seulement celle de l'école Jean-Marie-Weber sur laquelle pèse la menace de la fermeture d'une classe, mais pour affirmer leur volonté de voir perdurer l'accueil des tout-petits, les 2/3 ans, en dehors de tout projet de jardin d'éveil payant, tel que la réforme gouvernementale le prévoit.
Fermeture ou non

De son côté, Alain Riffaud, maire, s'est montré plus rassurant. Un contact récent avec l'Inspection académique lui permet de dire qu'il n'y aura pas de suppression de classe à la maternelle, à la rentrée 2009, même si les effectifs ne sont pas encore, et loin de là, totalement calés. En revanche, il paraît désormais certain que l'école primaire Paul-Garandeau sera amputée d'une classe, la baisse des effectifs étant confirmée.

Au-delà des questions de nombre d'élèves demeurent, pour les parents attachés à leurs écoles, des inquiétudes profondes sur l'avenir de l'Éducation nationale, de nature à motiver leur colère et leurs actions, symboliques, mais réelles (site à consulter : www.attachons.nous.a.notre.ecole.over-blog.com)

SUD OUEST
http://www.sudouest.com/gironde/actualite/rive-gauche/article/498824/mil/4157785.html

Touche pas à mon école maternelle

Plus d'une cinquantaine de parents s'était regroupée, vendredi 6 février, devant l'école Joliot-Curie à Talence, pour faire entendre son désaccord face aux réformes concernant l'école la maternelle. « Sauvons l'école maternelle, attachons-nous à notre école », ces slogans repris par tous, avaient pour but « de sensibiliser, d'informer les parents. Cette manifestation n'est ni catégorielle ni pour la défense d'un statut mais pour défendre l'avenir des enfants » précisent les parents.
Identifiables à leurs gilets fluorescents, les plus actifs dans le mouvement informent sur la suppression des Rased, la création des jardins d'éveil ou encore sur la mobilisation conjointe des enseignants. Une volonté de partager l'information, de provoquer une prise de conscience qui a sa place dans un mouvement national intitulé « Les parents sont attachés à l'école maternelle ».


20 MINUTES - Marseille
http://20minutes.marseillebondyblog.fr/news/des-parents-d-eleves-tres-attaches-a-leur-ecole
Des parents d’élèves très attachés à leur école

Vendredi 6 février, dans le cadre d’un mouvement national, les parents d’élèves de l’école maternelle Saint Vincent de Paul (5e) se sont attachés à l’entrée de leur école. Histoire de montrer leur attachement à l’école maternelle publique.
 8h15, rue Chape, 5e arrondissement. «Papa, on fait quoi là ?». La petite Louise est inquiète. Toute cette agitation à l’heure où, normalement, on dit au revoir aux parents et on rejoint ses copains, ça la trouble. Et puis voir des adultes sortir des cordes et des ficelles pour s’attacher tous ensemble contre le mur de son école, cela a un petit côté bondage assez inédit pour une enfant de cet âge. D’habitude, c’est la course, une bise vite posée et au revoir tout le monde. Et là, justement il y a du monde qui reste devant l’école. «Rejoins ton frère, regarde, il est déjà attaché, conseille Papa. Et puis je t’ai expliquée : on manifeste pour ne pas qu’ils ferment les écoles maternelles».

Ce n’est pas la foule du 29 janvier dernier, mais les parents d’élèves ont réussi à se mobiliser. Ils sont une bonne vingtaine à faire le pied de grue devant la petite Maternelle publique. «On est content, il y a du monde et pas seulement des parents d’élèves, se réjouit Sophie. Il y a aussi des habitants du quartier qui sont venus par solidarité. On est tous là pour démontrer notre attachement à l’école maternelle, à toutes les écoles maternelles. Même si on est aussi très attachés à celle-là car elle doit être démolie et on espère que c’est pour en reconstruire une à la place». La conseillère générale du canton, la socialiste Marie-Arlette Carlotti pointe même le bout de son nez. «Alors que se passe-t-il ? Est-ce que quelqu’un peut m’expliquer pourquoi on est là ?». 
 
Un papa se prête volontiers au jeu et dénonce la volonté du Ministre de l’Education, Xavier Darcos, de vouloir liquider la première année de maternelle au profit de jardin d’enfants privés. «Nous sommes là pour dire que la maternelle fait partie de l’école, c’est un moment éducatif important où l’enfant se socialise en dehors de la famille. C’est aussi à ce stade que l’on repère et que l’on peut lutter contre les inégalités face aux savoirs». L 'élue opine mais rechigne à se passer la corde au cou. «Cela me fait une peu peur», rit-elle, gênée.

Attache-moi
Les enfants ont aussi planché sur le sujet, leurs beaux dessins sont accrochés sur un fil tendu. Un père adepte de la varappe a amené une solide corde et tout ce beau monde s’accroche à la cordée. Une mère lance un slogan, repris timidement.

Pendant ce temps, le balai des voitures continue. L’une d’elles s’arrête devant, l’école, une maman en sort : «Ne me dites pas que l’école est fermée ?». D’autres parents la rassurent. Elle se précipite pour sortir son minot du siège bébé. Mais déjà, l’automobiliste de derrière klaxonne. La rue Chape est très étroite et la file de voitures grossit : «Dépêchez vous ! On n’a pas que ça à faire. Moi aussi, je dois déposer mon fils à son école». La maman interpelée lui demande de la mettre en veilleuse : «Ah… Vous, ça va… Vous allez à l’école privée au bout de la rue ? Et bien au moins là-bas, il y a des flics pour faire la circulation». Les parents présents confirment : «Tous les matins, il y a deux motards de la police municipale qui viennent faire la circulation devant l’école Saint Joseph de la Madeleine. Et, pour nous, rien, alors que la rue est étroite. Pourtant les écoles publiques sont du ressort de la mairie, non ?».

On va vérifier sur place et, effectivement, deux policiers municipaux règlent la circulation devant l’établissement privé. Ils ne répondront pas à nos questions, ils ont beaucoup trop à faire.

Benoît Gilles - 20 minutes

ARTICLES AVANT LE 6 FEVRIER

DERNIERES NOUVELLES D'ALSACE - Mardi 3 février
http://www.dna.fr/articles/200902/03/les-parents-attaches-l-ecole,strasbourg,000001322.php

CENTRE PRESSE - Mardi 3 février

LA DEPECHE
http://www.ladepeche.fr/article/2009/02/04/535151-Enseignants-et-parents-enflamment-les-rues-de-Toulouse.html

L'express
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/education/nuit-des-ecoles-on-nous-grignote 735596.html

La dépêche
http://www.ladepeche.fr/article/2009/01/26/530225-Beauzelle-Ecole-la-mobilisation-des-parents-contre-la-reforme-va-continuer.html



E. Dz.
Mouvement appelé "Attachons-nous à notre école". Plusieurs écoles du secteur vont le relayer aujourd'hui, en formant une chaîne humaine. A lire dans notre édition de demain.
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L
Nous avons participer vec grand plaisir vendredi dernier à cette action de défense de l'école maternelle.<br /> [url=http://www.servimg.com/image_preview.php?i=275&u=11947246][img]http://i64.servimg.com/u/f64/11/94/72/46/numari10.jpg[/img][/url]
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L
reportage sur France 3 Pau du 6 février, podcastable sur http://www.mirpod.com/podcast-player.php?6956/France-3-Pau-Sud-Aquitaine-Journal&lang=fr<br /> et sur France 3 Aquitaine : http://aquitaine.france3.fr/info/51360870-fr.php
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M
sur le site de canal cholet, http://www.canalcholet.com/<br /> , émission du vendredi 6 fevrier, <br /> vous trouverez un mini reportage sur l'action à Cholet (49)
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C
paulhiac lot et garonne <br /> article sud ouest : http://www.sudouest.com/lot-et-garonne/actualite/article/496153/mil/4146781.html
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L
A saint martin la plaine dans la Loire on n'a pas été gâtés, la pluie, la neige, le froid tout était réunis pour nous décourager. Mais on a tenu bon et malgré ce temps exécrable, une vingtaine de parents et autant d'enfants se sont retrouvés sous le préau de la maternelle autour de thé et café bien chauds dans une ambiance conviviale.<br /> Un article va paraitre dans le progrès de demain, on vous fera passer le lien. <br /> A bientôt pour la suite! la mobilisation continue!<br /> Les parents en colère
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